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Me ASTRID GUILLON
le 31/05/2023 -
Attribuée à Nicolaes Jacobz. TOL (documenté à Utrecht de 1634 à 1653)
L'enfance de Bacchus ou Allégorie de la Fécondité

Attribuée à Nicolaes Jacobz. TOL (documenté à Utrecht de 1634 à 1653)
L'enfance de Bacchus ou Allégorie de la Fécondité
- Toile
- 82,5 x 70,5 cm
- Petits éclats au cadre
Estimation : 2 000 / 3 000 €
Provenance : vente à Paris, Hôtel Drouot, étude Beaussant-Lefevre, le 18 juin 2010, n°8
Maître Bertrand JABOT ; Rémi GAUTHIER Hugo ; Hugo BENSAÏAH
le 03/06/2023 -
Ecole Hollandaise vers 1620
Paysage de rivière avec une procession sur le pont

Ecole Hollandaise vers 1620
Paysage de rivière avec une procession sur le pont
- Panneau non parqueté
- 29,2 x 42 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 4 000 €
Maître Bertrand JABOT ; Rémi GAUTHIER Hugo ; Hugo BENSAÏAH
le 03/06/2023 -
Théobald MICHAU (1676 - 1765)
Paysage avec le passage du bac

Théobald MICHAU (1676 - 1765)
Paysage avec le passage du bac
- Panneau de chêne, une planche non parqueté
- 33 x 44,3 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 4 000 €
OUEST ENCHERES PUBLIQUES
le 03/06/2023 -
Ecole FRANCAISE vers 1780
Portrait d'un architecte

Ecole FRANCAISE vers 1780
Portrait d'un architecte
- Toile
- 76,5 x 55 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 1 000 / 1 500 €
OUEST ENCHERES PUBLIQUES
le 03/06/2023 -
Attribué à Edouard PINGRET (1788 - 1875)
Un père et ses deux fils dans un intérieur

Attribué à Edouard PINGRET (1788 - 1875)
Un père et ses deux fils dans un intérieur
- Toile agrandie en haut et sur le côté droit
- 68 x 53,4 cm
- Restaurations anciennes et petits manques
Estimation : 1 500 / 2 000 €
OUEST ENCHERES PUBLIQUES
le 03/06/2023 -
Charles LEPEINTRE (Paris 1735-1799)
Portrait de dame en buste

Charles LEPEINTRE (Paris 1735-1799)
Portrait de dame en buste
- Panneau de noyer enduit de filasse, à vue ovale
- 31,8 x 24 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
OUEST ENCHERES PUBLIQUES
le 03/06/2023 -
Constantin Egorovitch MAKOVSKY (Moscou, 1839 - Saint-Pétersbourg, 1915)
Jeune fille rousse en buste

Constantin Egorovitch MAKOVSKY (Moscou, 1839 - Saint-Pétersbourg, 1915)
Jeune fille rousse en buste
- Panneau
- 40,7 x 32 cm
- Au revers trace de tampon sur le panneau, étiquette ancienne
Estimation : 6 000 / 8 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole ANVERSOISE du XVIIe, atelier de Frans FRANCKEN
Lazare et le mauvais riche



Ecole ANVERSOISE du XVIIe, atelier de Frans FRANCKEN
Lazare et le mauvais riche
- Panneau de chene, deux planches, non parqueté
- 49 x 75 cm
Estimation : 3 000 / 4 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANÇAISE 1769***
Portrait de Jean Baptiste Brossard de Lintrie à l'âge de 26 ans




Ecole FRANÇAISE 1769***
Portrait de Jean Baptiste Brossard de Lintrie à l'âge de 26 ans
- Toile d'origine
- 33,5 x 27 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole flamande du XVIIème siècle, atelier de Pierre Paul RUBENS
Marie Madeleine



Ecole flamande du XVIIème siècle, atelier de Pierre Paul RUBENS
Marie Madeleine
- Panneau de chêne, deux planches, renforcé
- 64.5 x 48.8 cm
- Au dos à la peinture blanche : N°13 et deux cachets de cire qui seraient ceux de Frederic II de Prusse et de la famille Amadori de Bologne
Estimation : 12 000 / 15 000 €
Provenance : Duc de Mantoue (d'après une tradition familiale). probablement Etienne Gueffier après 1630; M. Joly, Sauxillanges près de Clermont-Ferrand, 1962. Bibliographie: Marcel Röthlisberger, An "Ecce Homo" by Rubens, Burlington Magazine, décembre 1962, p. 542 (comme atelier de Rubens), non reproduit. Didier Bodart, La Madeleine Gueffier de Pierre Paul Rubens, in "Essays in honor of professor Erik Larsen at the occasion of his 90th Birthday", Mexico et Pérouse, 2002, p.13 à 20, reproduit p.17. La Madeleine est un sujet fréquent dans la peinture du 17e siècle, prisé tant pour l’expression des passions qu'il permet que pour la dévotion. A la suite du Concile de Trente, les artistes mettent en valeur son repentir. Les mains jointes, la carnation rouge de ses joues et ses yeux levés au ciel laissent deviner les pleurs. Son diadème et ses boucles d’oreilles sont ornés de perles à la fois symboles de pureté et de luxure, assimilée aux larmes de la sainte et annonçant sa pénitence. De même le manteau doré bordé d’hermine rappelle le luxe de sa vie passée. Marie-Madeleine est ici représentée avec la chevelure rousse dorée, abondante et relâchée, lèvres entrouvertes et poitrine peu couverte, sensuelle, et prenant place dans un paysage de la grotte de la Sainte-Baume où elle termina sa vie. Rappelant les compositions de Titien sur ce sujet, proche de Rubens dans le traitement de la chair, elle pourrait être attribuée à un collaborateur proche du maître anversois tel que Juste d’Egmont (1601 - 1674) ou Jan van den Hoecke (1611 - 1651). Le premier travailla dans l’atelier de Rubens à partir de 1620 et collabora au cycle de la Vie de Marie de Médicis tandis que le second, après son apprentissage à Anvers, est attesté à Rome entre 1637 et 1644, soit en même temps qu’Etienne Gueffier (1576-1660), émissaire à Rome auprès du Saint-Siège, qui y réside depuis 1623. D'après la tradition familiale, ce tableau aurait fait partie des collections ducales de Mantoue au début du XVIIe siècle, puis serait passé dans celle d'Etienne Gueffier. Mécène, collectionneur et amateur d’art, Gueffier resta en relation constante avec Mazarin et Colbert, leur servant probablement d’intermédiaire pour l’achat d'œuvres. Son statut de diplomate et sa résidence place d’Espagne lui permit de côtoyer de grands noms de la Rome artistique tel que Nicolas Poussin ou Claude Lorrain. Dans son testament, il légua une partie de sa fortune pour la construction de l'escalier monumental de la Trinité-des-Monts. La peinture est restée dans la famille Gueffier jusqu'à aujourd’hui.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Attribué à Ilario SPOLVERINI (1657 - 1734)
Choc de Cavalerie


Attribué à Ilario SPOLVERINI (1657 - 1734)
Choc de Cavalerie
- Toile
- 50 x 64 cm
- Manques.
Estimation : 1 200 / 1 500 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANCAISE vers 1760, atelier de Drouais
Portrait de Marie Jean Herault de Seychelles enfant



Ecole FRANCAISE vers 1760, atelier de Drouais
Portrait de Marie Jean Herault de Seychelles enfant
- Toile ovale
- 70,5 x 58,5 cm
Estimation : 3 000 / 5 000 €
Reprise de la composition de François-Hubert Drouais conservée en collection particulière.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Lavinia FONTANA (1552 - 1614)
Portrait d'Antonietta Gonsalvus



Lavinia FONTANA (1552 - 1614)
Portrait d'Antonietta Gonsalvus
- Toile
- 54.5 x 47 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 80 000 / 120 000 €
Notre tableau est à rapprocher de la composition de Lavinia Fontana conservée au musée des Beaux-arts de Blois. La jeune Antonietta Gonsalvus, ou Tognina Gonzales, est entrée dans la postérité grâce à son portrait à l’huile conservé au château de Blois réalisé vers 1595 par la peintre bolonaise Lavinia Fontana. Comme son père Petrus Gonsalvus et la plupart de ses frères et sœurs, « Tognina » souffre d’hypertrichose : une maladie génétique provoquant une pilosité envahissante. En 1547, âgé de 10 ans, son père, né Pedro Gonzales à Ténérife, est offert au roi de France Henri II à l’occasion de son sacre. La possession de cet « homme singe » est source de prestige pour le monarque, qui lui attribue une partie du parc du château de Fontainebleau et l’élève avec les autres enfants de la Cour. Au décès du roi Henri II en 1559, il est marié à Catherine Raffelin, nourrissant la légende du conte « La belle et la bête ». Au décès de Catherine de Médicis en 1589, la famille Gonzalvus et ses sept enfants est envoyée en Italie, accueillie chez différents nobles. L’inscription en italien sur le feuillet que tient Antonietta, semblable à celle du portrait Blois, raconte le parcours familial : « Don Pietro, un homme sauvage découvert dans les iles Canaries, a été transporté chez son altesse sérénissime Henri, roi de France, et de là chez son excellence le Duc de Parme. C’est de lui que je suis issue, Antonietta, et que l’on me trouve aujourd’hui à la cour de Dame Isabella Pallavicina, l’honorable marquise de Soragna. » Le périple des Gonsalvus depuis la France vers l’Italie est connu grâce aux observations scientifiques qui sont faites à chaque étape. Merry Wiesner-Hanks l’a remarquablement documenté dans son ouvrage publié en 2009 aux presses de Yale : « The Marvelous Hairy Girls : The Gonzales Sisters and their Worlds ». A Bâle, le physicien Felix Platter étudie ainsi deux enfants et commande leurs portraits. Ils seront ensuite envoyés à l’archiduc Ferdinand II et accrochés en son château d’Ambras, donnant ce nom au syndrome pileux. Antonietta est examinée vers l’âge de 10 ans en 1594 à Bologne, par Ulisse Aldrovandi. Ses notes scientifiques ne seront publiées qu’en 1642 dans l’ouvrage « Monstrorum Historia ». C’est à ce moment que son amie la peintre Lavinia Fontana, formée par Sophonisba Anguissola, réalise le portrait de Blois qu’elle signe et vraisemblablement le nôtre. Fontana collabore en effet alors avec d’autre peintres, hommes et femmes, au projet éditorial à venir d’Aldrovandi, dont sont conservées 8.000 aquarelles. Sur l’une d’elle, un autre portrait ressemblant à celui d’Antonietta, avec les mêmes fleurs dans les cheveux et la même robe de brocard, diffère par son inscription : « Une femme poilue de vingt ans dont la tête ressemble à un singe, mais qui n'est pas poilue sur le reste du corps. » Suscitant la plus grande des curiosités de son vivant, allant de la crainte sauvage à la défiance animale en passant par le statut d’objets précieux offert en présent, Antonietta est une petite fille sans équivalent dans l’histoire de la peinture. L’apparition de cette toile inconnue, peinte par une artiste femme d’une enfant dont la trace disparait à la fin du XVIe siècle en Italie, survient au moment même où le Musée des arts décoratif à Paris relance l’intérêt sur les études pileuse à travers son exposition évènement « Des cheveux et des poils » ! Un dossier d'analyses scientifique, réalisé par l'atelier Arcanes, est disponible sur demande.
LE CLOIREC - VASSAUX
le 04/06/2023 -
Attribué à Karl DAUBIGNY (1846-1886)
Le chemin de campagne au crépuscule

Attribué à Karl DAUBIGNY (1846-1886)
Le chemin de campagne au crépuscule
- Toile d'origine
- 33 x 41 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 1 000 / 1 200 €
LE CLOIREC - VASSAUX
le 04/06/2023 -
Dans le goût de David TENIERS
Couple de chanteurs dans une taverne

Dans le goût de David TENIERS
Couple de chanteurs dans une taverne
- Panneau, une planche, non parqueté
- 21 x 17,5 cm
Estimation : 400 / 600 €
LE CLOIREC - VASSAUX
le 04/06/2023 -
Dans le goût de David TENIERS
Les chanteurs dans une taverne

Dans le goût de David TENIERS
Les chanteurs dans une taverne
- panneau, une planche, non parqueté
- 24 x 18 cm
- Petits manques
Estimation : 600 / 800 €
LE CLOIREC - VASSAUX
le 04/06/2023 -
École FRANCAISE vers 1900
Scène de chasse à courre

École FRANCAISE vers 1900
Scène de chasse à courre
- Toile d'origine
- 64,5 x 81,5 cm
- Accidents
Estimation : 800 / 1 000 €
LE CLOIREC - VASSAUX
le 04/06/2023 -
Jan BRUEGHEL II, dit le jeune (Anvers 1601 - 1678)
L'incendie de Troie avec Enée portant Anchise

Jan BRUEGHEL II, dit le jeune (Anvers 1601 - 1678)
L'incendie de Troie avec Enée portant Anchise
- Cuivre
- 23,5 x 30,5 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 50 000 / 70 000 €
Provenance d'après l'étiquette au dos : F. von Kettinger, 1814 ; Carl of Schrewsbury Alton Towers (vente 9.07.1857), n°33 ; J. R. Haig. Les nocturnes, les paysages de l’enfer et les incendies appartiennent à la tradition flamande depuis Jérôme Bosch, et après lui, Pieter Brueghel l’Ancien. Son fils Jan Brueghel l’Ancien et bien sûr son petit-fils, Jan Brueghel le Jeune, reprennent ce sujet populaire en s’appuyant sur des sujets littéraires comme prétexte. Dans toutes ces images de feux en pleine nuit, tant du père que du fils Brueghel, les lumières tremblent, les lanternes et les torche lumineuses déchirent l’obscurité. Le fameux cheval de Troie apparait au centre de la composition dans un halo de lumière blanche. A la fin de conquête de Troie par les grecs, Enée quitte la ville en feu, qu’il ne peut défendre, portant son vieux père Anchise sur son dos et emmenant avec lui les Pénates, les dieux domestiques des Troyens. Jan Brueghel l’Ancien a réalisé quatre versions de ce sujet à la fin des années 1590, situant l'action à Rome sur le Tibre, avec le groupe familial au plan inférieur à droite, et autre fois avec le paysage fluvial panoramique et les figures à gauche en collection particulière (Klaus Ertz et Christa Nitze-Ertz, Jan Brueghel der Altere (1568 - 1625), Luca Verlag Lingen, 2008-2010, vol. II, p.p. 672-674, cat.329). C'est ce dernier que reprend ici son fils. La profondeur panoramique de l’étagement des différents plans s’accompagne d’une eau éclairée par la lune scintillante, comparable au reflet d’un miroir. Comme souvent dans l’œuvre des Brueghel, les bateaux, au premier plan à droite, sont minutieusement détaillés. Certificat de la galerie Joseph Leegenhoek de décembre 1975. Un certificat du Dr Klaus Ertz du 7 décembre 2022 sera remis à l'acquéreur. Il date notre tableau des années 1630.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Narcisse DIAZ de LA PENA (Bordeaux 1807- Menton 1876)
Promenade dans la forêt de Fontainebleau



Narcisse DIAZ de LA PENA (Bordeaux 1807- Menton 1876)
Promenade dans la forêt de Fontainebleau
- Panneau, une planche, non parqueté
- 31,7 x 40,4 cm
Estimation : 3 000 / 4 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ernst van DALEN (c. 1647 - 1709)
Canne blanche, canards noir et blanc


Ernst van DALEN (c. 1647 - 1709)
Canne blanche, canards noir et blanc
- Toile d'origine
- 99 x 125,8 cm
Estimation : 6 000 / 8 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Attribué à Francesco CAVAZZONI (1559 - 1612), d'après Annibal Carrache
Sainte Famille avec sainte Claire d'Assise



Attribué à Francesco CAVAZZONI (1559 - 1612), d'après Annibal Carrache
Sainte Famille avec sainte Claire d'Assise
- Cuivre
- 24 x 19 cm
Estimation : 1 000 / 1 500 €
Reprise de la gravure d’Annibale Carracci.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANÇAISE vers 1730, entourage de Nicolas de Largilliere
Portrait dit de Nicolas Pincepré tenant en main le premier Tome des oeuvres de Molina


Ecole FRANÇAISE vers 1730, entourage de Nicolas de Largilliere
Portrait dit de Nicolas Pincepré tenant en main le premier Tome des oeuvres de Molina
- Toile
- 101,4 x 80 cm
Estimation : 2 000 / 3 000 €
Le jésuite Luis de Moilina (1536-1600) développa la doctrine théologique sur la grâce divine et le libre arbitre. Nicolas Pincepré décédé après 1696, écuyer, seigneur de Buire, sieur d'Eterpigny, avocat au parlement au baillage de Péronne.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
École FRANÇAISE du XVIIIè, d'après Pierre Mignard
Louis-Alexandre de Bourbon (1678-1737), comte de Toulouse, enfant.



École FRANÇAISE du XVIIIè, d'après Pierre Mignard
Louis-Alexandre de Bourbon (1678-1737), comte de Toulouse, enfant.
- Toile
- 89,5 x 97 cm
- Accidents et manques
Estimation : 2 000 / 3 000 €
Reprise de la composition de 1682 conservée au château de Versailles.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANCAISE vers 1690
Portrait présumé de Sistrine de Murat



Ecole FRANCAISE vers 1690
Portrait présumé de Sistrine de Murat
- Toile ovale et châssis d'origine
- 40 x 32,5 cm
Estimation : 1 200 / 1 500 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANÇAISE vers 1763, atelier de Louis Michel Van LOO
Étienne-François de Choiseul-Stainville, duc de Choiseul




Ecole FRANÇAISE vers 1763, atelier de Louis Michel Van LOO
Étienne-François de Choiseul-Stainville, duc de Choiseul
- Toile ovale
- 82 x 65 cm
- Beau cadre en bois sculpté doré à décor de noeuds et rubans d’époque Louis XVI
- Restaurations anciennes
Estimation : 4 000 / 6 000 €
Provenance : - galerie Jacques Bruneau, Tours, vers 1970 - collection particulière, Rochecorbon. D'après le tableau commandé en 1763 par le modèle, toujours conservé au château de Versailles, notre toile présente le ministre assis à son bureau. Son habit rouge richement brodé d'or et doublé d'hermine est enrichi de la Toison d'or et du cordon bleu du Saint-Esprit. Le conservateur Xavier Salmon précise : "Un certain nombre de répliques en buste ont été distribuées afin de prendre place dans les administrations et de donner à voir le visage de cet homme si attaché au succès de la France " (in "Chanteloup, un moment de grâce autour du duc de Choiseul", éd. Somogy, Paris, 2007, .p.200).
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Adriaen ISENBRANT (actif à Bruges de 1510 à 1551)
Marie-Madeleine

Adriaen ISENBRANT (actif à Bruges de 1510 à 1551)
Marie-Madeleine
- Panneau de chêne, une planche, non parqueté
- 40 x 30,3 cm
- En placage d’ébène mouluré, travail Hollandais du XVIIè siècle (la vue rapportée)
- Restaurations anciennes
Estimation : 40 000 / 60 000 €
Provenance (selon les propriétaires) : - collection de Longeville - collection Roger Aubert (restaurateur de peintures), rue Megevand, Besançon - collection Louis Henri Girard (1881-1973), industriel à Champagnole, Jura - par descendance, collection particulière, Tours. Notre tableau était attribué jusqu’à ce jour au Maître des demi-figures, un peintre "maniériste anversois" au style aisément identifiable, à qui l’on doit de nombreuses représentations de Marie-Madeleine à mi-corps. Cependant le style pictural tout en courbes et ondulations, souvent un peu « sec » du maître des demi-figures, ne correspond pas à la force, à la géométrisation par masses mais aussi à la douceur que l’on observe ici. On perçoit l'influence de Gérard David et de Jan Provost dans le rendu des détails, qui situe notre tableau à Bruges et non à Anvers, alors que l' ampleur spatiale est influencée par les portraits de la Haute-Renaissance du début du 16e siècle (Léonard de Vinci, Raphaël). On rapprochera le visage des modèles féminins dans le volet gauche du diptyque Van de Velde d'Isembrant (Bruxelles, musée royaux des beaux-arts) et du Portrait d’une dame avec un chien de l'ancienne collection Thyssen-Bornemisza du même artiste (vente Christie's à Londres, 4 juillet 2019, lot n°1) faisant de notre tableau plus un portrait sous les traits de Marie Madeleine, qu’une simple représentation de la sainte. Nous remercions Mr Peter van den Brinck d'avoir confirmé l'attribution de ce tableau à Isembrant, sur photographie numérique.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
École FLAMANDE vers 1630, entourage d' Adriaen BROUWER
Intérieur de taverne



École FLAMANDE vers 1630, entourage d' Adriaen BROUWER
Intérieur de taverne
- Panneau de chêne, circulaire
- x cm
- cadre à forme octogonale
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 4 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Attribué à Charles LE BRUN (1619-1690)
Descente de croix


Attribué à Charles LE BRUN (1619-1690)
Descente de croix
- Toile et châssis d'origine
- 61 x 47 cm
Estimation : 5 000 / 7 000 €
Notre tableau est une très belle version d'une composition créée par Charles Le Brun vers 1650, connue par la gravure de Claude Duflos (notre toile est dans le même sens). On note plusieurs variantes, la différence majeure concerne la tête du Christ ; ici de profil, le visage est représenté de face sur l'estampe, tourné vers le spectateur. Sur celle-ci, les deux croix des larrons, à droite et sur la colline, sont absentes. Ls couleurs, avec la gamme primaire - rouge, bleue, jaune - sont caractéristiques de cette phase poussinesque de l'artiste. Le linceul qui flotte en haut de la croix est un détail iconographique qu’on trouve aussi, à la même époque, dans la "Déposition de croix" de Nicolas de Platemontagne : la croix s’apparente à l’Etendard de la Croix, auquel saint François de Sales a consacré un traité (Défense de l’Estendart de la saincte Croix de notre Sauveur Jésus-Christ, Lyon, 1600). Les écrits de ce théologien ont eu un impact profond sur la spiritualité du XVIIème siècle ; dans son chapitre intitulé 'De la façon de peindre les croix', il note " la croix comporte un traversier... auquel pendoit un voile, comme on fait maintenant en nos gonfanons, pour montrer que c’estoit l’estendart de Jesus-Christ "(F. Lanoë, dans le catalogue d’exposition A l’Ecole de Philippe de Champaigne, Evreux, 2007, p. 164).
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
École FRANÇAISE vers 1820 atelier du Baron Gérard
Portrait du Duc de Berry, de trois quarts, en tenue parée



École FRANÇAISE vers 1820 atelier du Baron Gérard
Portrait du Duc de Berry, de trois quarts, en tenue parée
- Papier marouflé sur toile
- 87 x 69 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 5 000 €
Notre tableau est une reprise partielle de la composition du baron Gérard, Portrait en pied de Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, futur Charles X (toile, 1820, 241 x 160cm, Paris, musée du Louvre, inv. 4769).
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Jacques Samuel BERNARD (1615 - 1687)
Fleurs coupées dans un vase de bronze


Jacques Samuel BERNARD (1615 - 1687)
Fleurs coupées dans un vase de bronze
- Toile
- 72 x 59,5 cm
- En bois mouluré et doré d’époque Louis XVI estampillé Infroit (recoupé)
Estimation : 8 000 / 10 000 €
Fils de Noël Bernard, peintre du faubourg Saint-Germain, Samuel entre dans l’atelier de son père avant de poursuivre sa formation auprès de Simon Vouet et de Louis du Guernier, peintre de miniature et protestant comme lui. Samuel Bernard compte parmi les quatorze premiers académiciens. Nommé professeur en 1655, puis conseiller, il est exclu de l’Académie suite à l’ordre du 10 octobre 1681, destituant les protestants des charges qu'ils ont à l'Académie. Il se convertit au catholicisme et réintègre son rang de professeur et de conseiller le 27 octobre 1685.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Jan PORCELLIS (Gand, entre 1583 et 1585 - Zoeterwoude 1632)
Voiliers sur une mer agitée

Jan PORCELLIS (Gand, entre 1583 et 1585 - Zoeterwoude 1632)
Voiliers sur une mer agitée
- Toile marouflée sur panneau
- 102 x 158 cm
Estimation : 40 000 / 60 000 €
Sur une mer agitée, des bateaux à un mât et des trois-mâts naviguent : au premier plan, on voit des vagues bouillonnantes au milieu desquelles flotte une bouée en forme de tonneau. La surface écumante, en mouvement, est éclairée à gauche, plus sombre à droite. A senestre, un navire à un mât de type Damloper se dirige vers le spectateur. Ce voilier porte à l'arrière un grand drapeau néerlandais, une chaloupe lui est attachée. A bord, on distingue trois hommes. Dans la partie arrière, deux autres semblent être assis. A l'arrière-plan, un trois-mâts, décrit en détail avec de nombreux marins à bord, navigue vers l'avant. Derrière celui-ci, deux autres trois-mâts anglais suivent la même trajectoire. Le navire de tête, à côté duquel navigue un bateau à un mât à droite, arbore le pavillon anglais de Saint-Georges ; le voilier qui se trouve derrière fait flotter le même drapeau sur son mât de misaine. A droite, vogue un esquif plus petit avec une voile carrée déployée. Il s'agit d'un bateau de pêche de type Pink. On distingue clairement quatre pêcheurs à bord. L’un d’entre eux se tient à l'avant, tenant dans sa main gauche une pique qui se détache sur l'eau plus claire. La pluie semble s'abattre en diagonale sur la côte vallonée, que l’on aperçoit à l'horizon, avec à droite un clocher d'église. Il est possible que ce soit la rade de Texel qui soit représentée. Né à Gand en Flandres, Porcellis est documenté à Rotterdam en 1605, avant de partir à Londres. Il est actif à Middelburg (Zélande) en 1609, avant de s'installer à Anvers de 1615 à 1620, où il est inscrit comme maître dans la Guilde en 1617. Il séjourne à Gand en 1620, quitte les Pays-Bas méridionaux peu avant l'expiration de la trêve, à la fin de l'année 1621 ou au début de 1622, et retourne à Haarlem pour deux ans de 1621 à 1623, puis à Rotterdam et Amsterdam de 1624 à 1626, ensuite à Voorburg en 1626 et à Zoeterwoude-Dorp de 1627 jusqu'à sa mort. Avec Hendrick Cornelisz Vroom (Haarlem 1562/66-1640 Haarlem), ils sont les deux premiers peintres à se spécialiser dans ce genre, témoignant des succès maritimes de la navigation des Pays-Bas (La Compagnie des Indes orientales, qui fait du commerce avec l’Amérique du Sud, l’Afrique et ensuite l’Asie, est créée en 1602 par la république des Sept Provinces-Unies des Pays-Bas). Avec de subtiles nuances de gris, une harmonieuse symphonie de bruns, de blancs argentés, l'artiste capte l'atmosphère d'une mer sauvage par temps orageux avec de. hautes vagues et des tourbillons, dans une gamme colorée tout à fait contemporaine des peintres de paysages et de natures mortes dits "monochromes" des années 1620 (Pieter Claez, Willem Heda, Jan van Goyen, Salomon van Ruysdael). Dans sa "Description et éloge de la ville de Haarlem" (1628), l'historien Samuel Ampzing fait l’éloge de Jan Porcellis, le décrivant comme « le plus grand artisan dans les navires », ou « le plus grand marin de Haarlem ». Ses peintures, très prisées des amateurs de son vivant, ont continué bien après sa mort à être admirées, non seulement par ses contemporaines, mais aussi par les peintres de marine de la génération suivante dont Ludolf Backhuysen qui le considérait comme le plus grand maître de la marine. Rubens, Rembrandt, Allaert van Everdingen, Jan van Capelle possédaient plusieurs de ses tableaux. Un certain nombre d'indices indiquent une date probable autour du séjour de Porcellis à Haarlem, entre 1622 et 1624, période où l'artiste s'attache à rendre les mers bouillonnantes ou des lacs agités. C’est après 1621, qu’il étudie et rend compte des conditions météorologiques changeantes, porte une attention aux nuages menaçants, aux éclaircies dans le ciel et qu'il étudie l'influence les zones d'ombre et de lumière sur la surface de l’eau, notant avec précision de nombreux détails tant sur les bateaux que sur les figures. Alors que Jan Porcellis peint principalement sur bois, l'artiste a pourtant utilisé le support sur toile, précisément entre 1622 et 1624, c'est-à-dire pendant sa période d'activité à Haarlem. Notre tableau montre une évolution vers plus d'ampleur spatiale que "voiliers dans un coup de vent" de 1618 (47 × 71 cm, Haarlem, Frans Hals Museum), et donne l'illusion d'une étendue maritime immense, se prolongeant au-delà de la toile. Notre tableau est probablement l'un des plus grands réalisés par notre artiste, l'un des plus ambitieux et a probablement fait l'objet d'une commande d'un particulier de premier plan. Notre toile, inédite, est une redécouverte majeure dans l'oeuvre de Porcellis, grand initiateur de ce genre pictural et un ajout important à la connaissance de la marine en Hollande au XVIIe siècle. Nous remercions Madame la Professeure Gerlinde de Beer de nous avoir aidés dans la rédaction de cette notice. Elle inclura le tableau dans un monographie à paraître.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANÇAISE vers 1720, atelier de Jean Baptiste Santerre
Portrait du Régent



Ecole FRANÇAISE vers 1720, atelier de Jean Baptiste Santerre
Portrait du Régent
- Toile
- 99 x 75 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 5 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANÇAISE vers 1730, entourage de Nicolas de Largilliere
Portrait de famille avec un fils offrant une fleur à sa mère


Ecole FRANÇAISE vers 1730, entourage de Nicolas de Largilliere
Portrait de famille avec un fils offrant une fleur à sa mère
- Toile
- 138,5 x 105,5 cm
- Très beau cadre en bois richement sculpté et doré (dorure d’origine) à décor de fleurs d’époque Louis XIV
- Restaurations anciennes
Estimation : 8 000 / 10 000 €
Selon un cartouche, les personnages figurant sur le tableau seraient Jean VIII de Massol, marquis de Garennes, seul avocat général à la chambre des comptes à Paris et premier président au bureau des finances et chambre du domaine de Paris, conseiller du roi ; époux de Marie-Genviève Morlet de Muzeau de Garennes, arrière petite-fille par sa mère de Louis Le Fère (Le Fèvre ?) de Caumartin baron de Saint-Pont, garde des Sceaux en 1622, et leur fils Antoine Bernard III, mort sans postérité. Jean VII mourut en 1629 à l’âge de 53 ans. Sa femme lui a apporté en dot le château et le marquis de Rebetz .
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
École FLAMANDE du XVIIè d'après Corrège
Ecce Homo



École FLAMANDE du XVIIè d'après Corrège
Ecce Homo
- Cuivre
- 51,6 x 40 cm
- En bois doré d’époque Louis XVI recoupé
Estimation : 1 200 / 1 500 €
Reprise partielle du tableau conservé à la National Gallery de Londres: "Ecce Homo", (voir "l'opera completa del Correggio" par Alberto Bevilacqua, fig 58 page 102).
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Philippe TANNEUR (1795 - 1878)
Soldat et promeneurs sur les remparts



Philippe TANNEUR (1795 - 1878)
Soldat et promeneurs sur les remparts
- Toile d'origine
- 42 x 69,5 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Januarius ZICK (1730 - 1797)
Repas de chasseurs



Januarius ZICK (1730 - 1797)
Repas de chasseurs
- Toile d'origine
- 88 x 134,5 cm
- À décor d’oves de style Louis XVI
Estimation : 6 000 / 8 000 €
Notre composition peut être rapproché d'un tableau conservé dans une collection privée à Munich (monographie par Josef Straßber, 1994, fig. 207) daté des années 1770-1790. On trouve de nombreuses similitudes quant à la disposition des personnages, leurs regards ou encore l'exécution des matières. Peintre d'histoire, auteur de nombreux décors rococo d'églises bavaroises, Januarius Zick a peint aussi plusieurs scènes de genre et pastorales.
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Ecole FRANÇAISE de la première moitié du XIXè, entourage de Lazare Bruandet
Chasse à courre en forêt



Ecole FRANÇAISE de la première moitié du XIXè, entourage de Lazare Bruandet
Chasse à courre en forêt
- Toile
- 88 x 134,5 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 1 000 / 1 500 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Attribué à Lucas Van UDEN (1595 - 1672) et attribué à Adrien Van STALBEMT
La rencontre d'Elieser et Rebecca



Attribué à Lucas Van UDEN (1595 - 1672) et attribué à Adrien Van STALBEMT
La rencontre d'Elieser et Rebecca
- Toile
- 82,5 x 123 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 5 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Attribué à Jan Antoon GAREMYN (1712-1799)
Les vendanges



Attribué à Jan Antoon GAREMYN (1712-1799)
Les vendanges
- Toile transposée sur toile
- 80 x 108 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 2 000 / 3 000 €
ROUILLAC Mes Philippe et Aymeric
le 04/06/2023 -
Attribué à Henri GASCARD (1635 - 1701)
Portraits de jeunes dames étendues dans un paysage




Attribué à Henri GASCARD (1635 - 1701)
Portraits de jeunes dames étendues dans un paysage
- Paire de toiles ovales
- 74,5 x 91,5 cm
- En bois sculpté redoré, travail français d’époque Louis XIV
Estimation : 3 000 / 5 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Attribué à Jacob de HEUSCH ( 1656/57 - 1701)
Paysage avec pêcheurs près d'un village fortifié

Attribué à Jacob de HEUSCH ( 1656/57 - 1701)
Paysage avec pêcheurs près d'un village fortifié
- Toile
- 87 x 107 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 4 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Ecole FRANCAISE vers 1720, entourage de Jean Baptiste SANTERRE
Portrait d'homme en cuirasse portant l'ordre de saint Louis

Ecole FRANCAISE vers 1720, entourage de Jean Baptiste SANTERRE
Portrait d'homme en cuirasse portant l'ordre de saint Louis
- Toile d'origine
- 74,5 x 60 cm
- Manques et restaurations anciennes
Estimation : 1 200 / 1 500 €
La croix de Saint Louis indique une période d'exécution postérieure à 1693 (année de fondation de l'ordre de Saint Louis). Le Ruban se portait au niveau de l'estomac selon la tradition originale.
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Claude Michel Hamon DUPLESSIS (Actif à Versailles vers 1791 - 1799)
Le retour des soldats

Claude Michel Hamon DUPLESSIS (Actif à Versailles vers 1791 - 1799)
Le retour des soldats
- Panneau de noyer, une planche, filassé
- 44 x 58 cm
Estimation : 2 000 / 3 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Ecole Hollandaise vers 1800, suiveur de Wouwerman
Le Maréchal ferrant

Ecole Hollandaise vers 1800, suiveur de Wouwerman
Le Maréchal ferrant
- Toile
- 48 x 60 cm
- Restaurations
Estimation : 600 / 800 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Dans le gout de Adriaen BEELDEMAKER
Combat de chiens et renards

Dans le gout de Adriaen BEELDEMAKER
Combat de chiens et renards
- Toile d'origine
- 62 x 76 cm
Estimation : 400 / 600 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Ecole HOLLANDAISE vers 1650 entourage de Jacob Van Ruysdael
Paysage au moulin

Ecole HOLLANDAISE vers 1650 entourage de Jacob Van Ruysdael
Paysage au moulin
- Toile
- 51 x 61 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 3 000 / 4 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Adriaen de GRYEF (Anvers 1670 - Bruxelles 1715)
Lièvre, fouine, bécasse et bouvreuils

Adriaen de GRYEF (Anvers 1670 - Bruxelles 1715)
Lièvre, fouine, bécasse et bouvreuils
- Toile
- 40 x 52 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Théodore CARUELLE d'ALIGNY (1798-1871)
Paysage au rochers

Théodore CARUELLE d'ALIGNY (1798-1871)
Paysage au rochers
- Toile d'origine de Belot (étiquette)
- 50 x 63 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Jan MARTENSZ de JONGHE (1609-1647)
Charge de cavalerie

Jan MARTENSZ de JONGHE (1609-1647)
Charge de cavalerie
- Panneau de chêne, deux planches, non parqueté
- 43 x 66 cm
Estimation : 8 000 / 10 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Attribué à Pieter Van BLOEMEN (1657 - 1720)
Cour de ferme

Attribué à Pieter Van BLOEMEN (1657 - 1720)
Cour de ferme
- Toile
- 67 x 96 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Attribué à Godfredo WALS (1595-1638)
Le Christ et les pélerins d'Emmaüs (?) dans un paysage

Attribué à Godfredo WALS (1595-1638)
Le Christ et les pélerins d'Emmaüs (?) dans un paysage
- Panneau de chêne, une planche, non parqueté
- 24 x 32 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 2 000 / 3 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Ecole de Bruges vers 1550, entourage d'Adriaen van ISENBRANDT
Saint Jérome en prière dans un paysage

Ecole de Bruges vers 1550, entourage d'Adriaen van ISENBRANDT
Saint Jérome en prière dans un paysage
- Panneau de chêne, parqueté
- 59 x 46 cm
- Restaurations et fente au panneau
Estimation : 8 000 / 12 000 €
VASSY - JALENQUES
le 05/06/2023 -
Ecole HOLLANDAISE du XVIIIème siècle, suiveur de Paulus POTTER
Troupeau au repos dans un paysage

Ecole HOLLANDAISE du XVIIIème siècle, suiveur de Paulus POTTER
Troupeau au repos dans un paysage
- Panneau de chêne, une planche, non parqueté
- 33 x 41 cm
Estimation : 1 000 / 1 500 €
Me Jacques FARRAN
le 11/06/2023 -
Ecole française du XVIIe siècle, suiveur de Dorigny
Paysage avec Polyphène, Acis et Galathée et des nymphes

Ecole française du XVIIe siècle, suiveur de Dorigny
Paysage avec Polyphène, Acis et Galathée et des nymphes
- Panneau, deux planches, probablement un élément d'épinette ou de clavecin
- 42,5 x 100 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 1 500 / 2 000 €
Me Jacques FARRAN
le 11/06/2023 -
Attribué à Pieter van der HULST (vers 1600 - après 1637)
Promeneurs dans un paysage de forêt

Attribué à Pieter van der HULST (vers 1600 - après 1637)
Promeneurs dans un paysage de forêt
- Cuivre
- 17 x 22 cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
AZUR ENCHERES CANNES / NOUDEL-DENIAU & PICHON
le 14/06/2023 -
Ecole FRANCAISE vers 1770
Académie d'homme couché

Ecole FRANCAISE vers 1770
Académie d'homme couché
- Toile
- 59 x 73.5 cm
- Restaurations anciennesManques
Estimation : 3 000 / 4 000 €
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Ecole HOLLANDAISE vers 1700, entourage d'Adrien van der Cabel
Le retour de la pêche



Ecole HOLLANDAISE vers 1700, entourage d'Adrien van der Cabel
Le retour de la pêche
- Toile
- 25 x 42,5 cm
Estimation : 800 / 1 200 €
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Ecole FRANCAISE vers 1580, d'après Andrea Solario
Vierge en prière




Ecole FRANCAISE vers 1580, d'après Andrea Solario
Vierge en prière
- Panneau de chêne parqueté
- 36 x 26,5 cm
- d'époque Louis XVI
- Petits manques
Estimation : 1 500 / 2 000 €
Reprise de la composition de Solario de l'ancienne collection Crespi, aujourd'hui en collection particulière, dont on connait une version signée de Simon de Châlons à la galerie Borghèse à Rome.
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Ecole de BERGAME vers 1700, suiveur de Francesco Fieravino
Plat de pommes et poires dans un plat posé sur un tapis



Ecole de BERGAME vers 1700, suiveur de Francesco Fieravino
Plat de pommes et poires dans un plat posé sur un tapis
- Toile marouflée sur panneau
- 31,5 x 42,5 cm
Estimation : 2 000 / 3 000 €
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Jean Frédéric SCHALL (Strasbourg 1752 - Paris 1825)
Sujet tirés de la Genèse : Adam et Eve et La chute des anges rebelles







Jean Frédéric SCHALL (Strasbourg 1752 - Paris 1825)
Sujet tirés de la Genèse : Adam et Eve et La chute des anges rebelles
- Cinq toiles
- 32,5 x 24,5 cm
Estimation : 3 000 / 4 000 €
Nos tableaux, atypiques par leurs sujets dans la carrière de l'artiste, appartenaient à une série de douze modèles donnés par Schall à l'éditeur pour les illustrations du "Paradis Perdu" de John Milton, publié par Defer de Maisonneuse en 1792 et 1793. Dans le livre, les compositions ont été gravées par Alexandre L. Clément, Nicolas Colibert, Mme de Monchy et Jean-Baptiste Gauthier. Bibliographie : André Girodie, "Un peintre de fêtes galantes, Jean Frédéric Schall (Strasbourg 1752- Paris 1825)", Strasbourg 1927, p.30 et p. 71, n°114-125.
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
JAIME BAC0 dit JACOMART (Valence vers 1410-1461 ) / Joan REIXACH (Valence, documenté de 1431 à 1486)
Saint Mathieu et l'Ange





JAIME BAC0 dit JACOMART (Valence vers 1410-1461 ) / Joan REIXACH (Valence, documenté de 1431 à 1486)
Saint Mathieu et l'Ange
- Panneau de retable Peinture mixte et fond d’or sur panneau de bois rectangulaire, cadre en bois doré et sculpté non d’origine
- x cm
Estimation : 50 000 / 70 000 €
H. 143cm ; L. 84cm hors tout H.129,9cm ; L. 63,7cm panneau seul H. 126,6 ; L.59,9cm surface picturale ETAT Panneau constitué de deux planches de 30,5 cm de large et de deux réglettes de 3cm de large placées le long des bords verticaux, le tout assemblé à joints vifs et maintenu au revers par deux traverses d’origine et deux autres modernes, espacées de 36,5cm, renforçant l’assemblage qui a joué. Un morceau de toile ancienne renforce l’ajout de gauche. Couche picturale : usures et restaurations dans le manteau du saint qui a noirci ou verdi, dans les ailes, la chevelure de l’ange et à l’extrémité de sa draperie. Fond d’or et ornementation poinçonnée d’origine, partie redorée comprise entre le bord ondulé de ce fond et le cadre. Soulèvements visibles. INSCRIPTIONS Sur le phylactère de l’Ange : en lettres gothiques repeintes: I UT (sicut ?)MATEU A(sic)VENGE LISTA Au revers, à la peinture noire : FR …anco Le saint se détache debout sur le fond d’or, un pied posé en avant sur un sol carrelé traité en perspective. Ces petits carreaux sont ornés chacun d’une croix de deux tons de rouge inscrite dans un losange. Personnage sévère, saint Matthieu arbore une chevelure et une barbe imposantes couvrant ses épaules et son cou. Une robe rouge et un long manteau foncé, doublé de jaune, drapent sa haute stature. Conformément à la tradition médiévale, Il tient de la main gauche le livre de son évangile écrit avec la plume qu’il exhibe d’un geste précieux de la main droite. Au-dessus de lui, à gauche, son attribut, l’ange inspirateur, se tient en vol stationnaire, les ailes largement éployées entre lesquelles s’étend le phylactère porteur de l’inscription. Cette œuvre inédite, élément d’un retable inconnu, important par ses dimensions et ses qualités, doit être rapprochée des œuvres peintes à Valence dans la seconde moitié du XVe siècle. A cette époque deux peintres majeurs dominent la scène artistique dans cette région : Jaime Baço dit Jacomart (Valence 1410-1461) et son émule Joan Reixach. (actif à Valence 1431-1486). Ce « binôme artistique » au langage très proche, pose un problème historiographique auquel la critique récente a tenté de répondre sans pouvoir donner une solution certaine, considérant d’abord que les deux artistes travaillèrent indépendamment l’un de l’autre, sans contact particulier. Si les documents de nombreux contrats de commandes de retables, rédigés en faveur de Jacomart nous ont été transmis, aucune œuvre certifiée de sa main ne nous est parvenue. Jacomart travailla dans la région de Valence et à Naples, principalement au service des dignitaires que furent Alfonso Borgia, le futur pape Calixte III (1378-1458) et Alphonse V le Magnanime (1394-1458) roi d’Aragon, de Sicile et de Naples, dont il fut le peintre de cour attitré. Quant à Joan Reixach (documenté de 1431 à 1486), bien qu’originaire de Catalogne, son activité se déroula principalement à Valence où il s’établit en 1437 jusqu’à sa mort en 1484. La seule œuvre certifiée que l’on connaisse de lui est le retable de Sainte Ursule signé et daté 1468, autrefois dans l’église paroissiale de Cubells (Catalogne) conservé actuellement à Barcelone (Museu Nacional d’Art de Catalunya , Mac 15927) En raison des divers voyages effectués par Jacomart entre l’Espagne et l’Italie, en particulier à Naples où il est appelé par le roi d’Aragon en 1442, le peintre valencien Joan Reixach, son exact contemporain, fut chargé de terminer nombre d’œuvres délaissées par son alter ego : en particulier le retable de Saint Michel de Burjasot que Jacomart délaissa en 1442 lors de son départ pour Naples et que Reixach termina en 1444 (cf. F.D. Domenech in La Clave en los primitivos valencianos, exposition Valence, Museo de Bellas Artes, 30 mai-2 septembre 2001, p.31-45, spécialement p. 34, 198, cat.24) Outre le retable de Burjasot, le retable de Saint Laurent et Saint Pierre Martyr, parvenu jusqu’à nous, commandé à Jacomart en janvier 1460 pour l’église paroissiale de Cati, (proche de Valence) et laissé inachevé par sa mort en Juillet 1461, fut terminé à cette date par Reixach. (cf. J. Ferre Puerto, Retablo de San Lorenzo y San Pedro de Verona de Cati , in « Jacomart » Museu de Belles Arts de Valencia, Obra recuperada del trimestre, Diciembre 1997, repr. et La Clave… op. cit. p. 31, fig.8) C’est autour de ce retable et, principalement des figures centrales de saint Laurent et saint Pierre martyr, qu’il faut sans doute rapprocher notre Saint Matthieu. On est tout d’abord frappé par l’identique expression d’austérité que partage ce saint avec le couple du retable de Cati. Les liens semblent également manifestes dans la présentation du saint en pied placé sur un sol carrelé dont le motif en croix est identique, dans le fond d’or ourlé d’une même ornementation poinçonnée, dans la rectitude des attitudes rompue par les gestes des mains et la position des pieds ainsi que dans la gamme colorée. Notons également l’animation qu’apporte le petit ange inspirateur aux ailes foncées, typiques de la manière flamande, que l’on retrouve dans l’élément de la prédelle du retable de Cati où saint Matthieu, sosie un peu plus faible de notre saint, apparaît assis sur un banc. Les deux œuvres conservent encore un accent gothique. Certains historiens supposent que ce retable fut entièrement réalisé dans l’atelier de Reixach , prétendant que celui-ci ne fut jamais en rapport direct avec Jacomart , ce dernier étant occupé, en janvier 1460 à la réalisation d’un retable de Santa Catalina pour le palais royal puis, à compter du 27 juin 1461 à la réfection des grilles de la cathédrale de Valence , mais sachant qu’il disparut le 16 juillet suivant après avoir rédigé son testament la veille, Reixach fut ainsi chargé de terminer la peinture des grilles et d’achever le retable de Cati. Le fait que les deux artistes ont longtemps été considérés par la critique comme travaillant en totale indépendance, aurait pu faciliter la distinction de leur style. Or les éléments d’appréciation font encore trop défaut pour arriver à cette conclusion, d’autant que l’invention de nouveaux documents mis à jour récemment permet de rejeter l’idée d’autonomie des deux artistes et tend à prouver au contraire qu’ils étaient déjà associés dès 1449 (cf. X. Company et AA.VV. « Una Flagellacion de Joan Reixach de coleccion particular. Nuevos documentos y consideraciones sobre el binomio Jacomart-Reixach » Archivo Español de Arte, 340, octobre-décembre 2012, p. 351-387). Ces nouveaux éléments documentaires compliquent d’autant plus l’appréciation de leur style personnel, dès lors que l’on a souvent constaté dans les habitudes d’atelier au XIVe et au XVe siècle, que lorsque deux artistes travaillaient à une même œuvre, leur style tendait le plus souvent à s’harmoniser, rendant leur contribution respective difficile à évaluer. C’est sans doute ce qu’il faut constater dans le retable de Cati, ainsi que dans ce Saint Matthieu dont il est si proche, en estimant que Reixach dut s’approcher le plus possible de la manière de Jacomart, mais comme cette dernière n’est pas définie avec certitude, nous proposons de conserver l’attribution de cet évangéliste au « binôme » Jacomart/Reixach vers 1460.
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Francesco FURINI (1603 - 1646)
Jeune femme en buste (allégorie de la Temperence ?)



Francesco FURINI (1603 - 1646)
Jeune femme en buste (allégorie de la Temperence ?)
- Toile
- 55 x 44 cm
- Cadre en bois sculpté doré de style renaissance florentine (accidents)
Estimation : 8 000 / 10 000 €
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Attribué à Francesco MONTOVANO (1584 - 1674)
Bouquet de fleurs dans un vase de bronze sur un entablement




Attribué à Francesco MONTOVANO (1584 - 1674)
Bouquet de fleurs dans un vase de bronze sur un entablement
- Toile
- x cm
Estimation : 1 500 / 2 000 €
Xavier de LA PERRAUDIERE & Florian d’OYSONVILLE
le 14/06/2023 -
Ecole PIEMONTAISE vers 1720
Portrait de dame en robe brodée, en buste




Ecole PIEMONTAISE vers 1720
Portrait de dame en robe brodée, en buste
- Toile
- 78 x 61 cm
- Restaurations anciennes et soulèvements
Estimation : 1 200 / 1 500 €
CHAMPION Pierre ; Franck PUAUX ; Françoise KUSEL
le 15/06/2023 -
Charles-François GRENIER de LACROIX, dit LACROIX de MARSEILLE (Marseille vers 1700 - Berlin après 1784)
Pêcheurs remontant des fillets (le crépuscule) ; Marine avec pêcheurs (l'aube)


Charles-François GRENIER de LACROIX, dit LACROIX de MARSEILLE (Marseille vers 1700 - Berlin après 1784)
Pêcheurs remontant des fillets (le crépuscule) ; Marine avec pêcheurs (l'aube)
- Paire de toiles d'origine
- 45 x 63 cm
- Petits accidents et manques
Estimation : 40 000 / 60 000 €
LABARBE TOULOUSE
le 16/06/2023 -
Dirk HALS (1591-1656)
Joyeuse compagnie attablée

Dirk HALS (1591-1656)
Joyeuse compagnie attablée
- Panneau de chêne, une planche, non parqueté
- 23,5 x 34,5 cm
- En bois sculpté doré, travail français d’époque Louis XIV
- Petits manques et petites griffures
Estimation : 12 000 / 15 000 €
JAKOBOWICZ Me Matthias
le 17/06/2023 -
Ecole FLAMANDE de la fin du 16e siècle, atelier de Marten van Cleve
La kermesse de Saint-Georges

Ecole FLAMANDE de la fin du 16e siècle, atelier de Marten van Cleve
La kermesse de Saint-Georges
- Panneau parqueté
- 67,5 x 103 cm
Estimation : 12 000 / 15 000 €
On rapprochera cette composition des tableaux de Martin van Cleve sur le même sujet (Klaus Ertz, Christa Nitze -Ertz, Marten van Cleve 1524-1581, Luca Verlag, 2014, p.151, n°41 et p.152, n°42 à 44).
LE COENT Me Dominique
le 24/06/2023 -
Ecole HOLLANDAISE du XVIIeme, suiveur de Willem CLAESZ HEDA
Nature morte au crabe, pomme, huitre et pièces d'orfèvrerie

Ecole HOLLANDAISE du XVIIeme, suiveur de Willem CLAESZ HEDA
Nature morte au crabe, pomme, huitre et pièces d'orfèvrerie
- Panneau parqueté
- 65,5 x 49 cm
- Restaurations anciennes
Estimation : 2 000 / 3 000 €
BAECQUE - d’ OUINCE Mes de
le 30/06/2023 -
Ecole MILANAISE vers 1600, suiveur de Bernardino Luini
La Vierge à l'enfant avec saint Jean-Baptiste et l'agneau dans un paysage

Ecole MILANAISE vers 1600, suiveur de Bernardino Luini
La Vierge à l'enfant avec saint Jean-Baptiste et l'agneau dans un paysage
- Panneau de noyer une planche, non parqueté
- 91 x 63,5 cm
Estimation : 12 000 / 15 000 €
Reprise de la composition de Bernardino Luini conservée au musée Thyssen-Bornemisza à Madrid (Nº INV. 232 - 1977.108).
-
Attribuée à Nicolaes Jacobz. TOL (documenté à Utrecht de 1634 à 1653)
L'enfance de Bacchus ou Allégorie de la Fécondité
Toile
82,5 x 70,5 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Ecole Hollandaise vers 1620
Paysage de rivière avec une procession sur le pont
Panneau non parqueté
29,2 x 42 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
Théobald MICHAU (1676 - 1765)
Paysage avec le passage du bac
Panneau de chêne, une planche non parqueté
33 x 44,3 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
-
Attribué à Edouard PINGRET (1788 - 1875)
Un père et ses deux fils dans un intérieur
Toile agrandie en haut et sur le côté droit
68 x 53,4 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Charles LEPEINTRE (Paris 1735-1799)
Portrait de dame en buste
Panneau de noyer enduit de filasse, à vue ovale
31,8 x 24 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Constantin Egorovitch MAKOVSKY (Moscou, 1839 - Saint-Pétersbourg, 1915)
Jeune fille rousse en buste
Panneau
40,7 x 32 cmEstimation : 6 000 / 8 000 €
-
Ecole ANVERSOISE du XVIIe, atelier de Frans FRANCKEN
Lazare et le mauvais riche
Panneau de chene, deux planches, non parqueté
49 x 75 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
Ecole FRANÇAISE 1769***
Portrait de Jean Baptiste Brossard de Lintrie à l'âge de 26 ans
Toile d'origine
33,5 x 27 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Ecole flamande du XVIIème siècle, atelier de Pierre Paul RUBENS
Marie Madeleine
Panneau de chêne, deux planches, renforcé
64.5 x 48.8 cmEstimation : 12 000 / 15 000 €
-
Attribué à Ilario SPOLVERINI (1657 - 1734)
Choc de Cavalerie
Toile
50 x 64 cmEstimation : 1 200 / 1 500 €
-
Ecole FRANCAISE vers 1760, atelier de Drouais
Portrait de Marie Jean Herault de Seychelles enfant
Toile ovale
70,5 x 58,5 cmEstimation : 3 000 / 5 000 €
-
Lavinia FONTANA (1552 - 1614)
Portrait d'Antonietta Gonsalvus
Toile
54.5 x 47 cmEstimation : 80 000 / 120 000 €
-
Attribué à Karl DAUBIGNY (1846-1886)
Le chemin de campagne au crépuscule
Toile d'origine
33 x 41 cmEstimation : 1 000 / 1 200 €
-
Dans le goût de David TENIERS
Couple de chanteurs dans une taverne
Panneau, une planche, non parqueté
21 x 17,5 cmEstimation : 400 / 600 €
-
Dans le goût de David TENIERS
Les chanteurs dans une taverne
panneau, une planche, non parqueté
24 x 18 cmEstimation : 600 / 800 €
-
École FRANCAISE vers 1900
Scène de chasse à courre
Toile d'origine
64,5 x 81,5 cmEstimation : 800 / 1 000 €
-
Jan BRUEGHEL II, dit le jeune (Anvers 1601 - 1678)
L'incendie de Troie avec Enée portant Anchise
Cuivre
23,5 x 30,5 cmEstimation : 50 000 / 70 000 €
-
Narcisse DIAZ de LA PENA (Bordeaux 1807- Menton 1876)
Promenade dans la forêt de Fontainebleau
Panneau, une planche, non parqueté
31,7 x 40,4 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
Ernst van DALEN (c. 1647 - 1709)
Canne blanche, canards noir et blanc
Toile d'origine
99 x 125,8 cmEstimation : 6 000 / 8 000 €
-
Attribué à Francesco CAVAZZONI (1559 - 1612), d'après Annibal Carrache
Sainte Famille avec sainte Claire d'Assise
Cuivre
24 x 19 cmEstimation : 1 000 / 1 500 €
-
Ecole FRANÇAISE vers 1730, entourage de Nicolas de Largilliere
Portrait dit de Nicolas Pincepré tenant en main le premier Tome des oeuvres de Molina
Toile
101,4 x 80 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
École FRANÇAISE du XVIIIè, d'après Pierre Mignard
Louis-Alexandre de Bourbon (1678-1737), comte de Toulouse, enfant.
Toile
89,5 x 97 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Ecole FRANCAISE vers 1690
Portrait présumé de Sistrine de Murat
Toile ovale et châssis d'origine
40 x 32,5 cmEstimation : 1 200 / 1 500 €
-
Ecole FRANÇAISE vers 1763, atelier de Louis Michel Van LOO
Étienne-François de Choiseul-Stainville, duc de Choiseul
Toile ovale
82 x 65 cm
Beau cadre en bois sculpté doré à décor de noeuds et rubans d’époque Louis XVIEstimation : 4 000 / 6 000 €
-
Adriaen ISENBRANT (actif à Bruges de 1510 à 1551)
Marie-Madeleine
Panneau de chêne, une planche, non parqueté
40 x 30,3 cm
En placage d’ébène mouluré, travail Hollandais du XVIIè siècle (la vue rapportée)Estimation : 40 000 / 60 000 €
-
École FLAMANDE vers 1630, entourage d' Adriaen BROUWER
Intérieur de taverne
Panneau de chêne, circulaire
x cm
cadre à forme octogonaleEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
Attribué à Charles LE BRUN (1619-1690)
Descente de croix
Toile et châssis d'origine
61 x 47 cmEstimation : 5 000 / 7 000 €
-
École FRANÇAISE vers 1820 atelier du Baron Gérard
Portrait du Duc de Berry, de trois quarts, en tenue parée
Papier marouflé sur toile
87 x 69 cmEstimation : 3 000 / 5 000 €
-
Jacques Samuel BERNARD (1615 - 1687)
Fleurs coupées dans un vase de bronze
Toile
72 x 59,5 cm
En bois mouluré et doré d’époque Louis XVI estampillé Infroit (recoupé)Estimation : 8 000 / 10 000 €
-
Jan PORCELLIS (Gand, entre 1583 et 1585 - Zoeterwoude 1632)
Voiliers sur une mer agitée
Toile marouflée sur panneau
102 x 158 cmEstimation : 40 000 / 60 000 €
-
Ecole FRANÇAISE vers 1720, atelier de Jean Baptiste Santerre
Portrait du Régent
Toile
99 x 75 cmEstimation : 3 000 / 5 000 €
-
Ecole FRANÇAISE vers 1730, entourage de Nicolas de Largilliere
Portrait de famille avec un fils offrant une fleur à sa mère
Toile
138,5 x 105,5 cm
Très beau cadre en bois richement sculpté et doré (dorure d’origine) à décor de fleurs d’époque Louis XIVEstimation : 8 000 / 10 000 €
-
École FLAMANDE du XVIIè d'après Corrège
Ecce Homo
Cuivre
51,6 x 40 cm
En bois doré d’époque Louis XVI recoupéEstimation : 1 200 / 1 500 €
-
Philippe TANNEUR (1795 - 1878)
Soldat et promeneurs sur les remparts
Toile d'origine
42 x 69,5 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Januarius ZICK (1730 - 1797)
Repas de chasseurs
Toile d'origine
88 x 134,5 cm
À décor d’oves de style Louis XVIEstimation : 6 000 / 8 000 €
-
Ecole FRANÇAISE de la première moitié du XIXè, entourage de Lazare Bruandet
Chasse à courre en forêt
Toile
88 x 134,5 cm
Estimation : 1 000 / 1 500 €
-
Attribué à Lucas Van UDEN (1595 - 1672) et attribué à Adrien Van STALBEMT
La rencontre d'Elieser et Rebecca
Toile
82,5 x 123 cmEstimation : 3 000 / 5 000 €
-
Attribué à Jan Antoon GAREMYN (1712-1799)
Les vendanges
Toile transposée sur toile
80 x 108 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Attribué à Henri GASCARD (1635 - 1701)
Portraits de jeunes dames étendues dans un paysage
Paire de toiles ovales
74,5 x 91,5 cm
En bois sculpté redoré, travail français d’époque Louis XIVEstimation : 3 000 / 5 000 €
-
Attribué à Jacob de HEUSCH ( 1656/57 - 1701)
Paysage avec pêcheurs près d'un village fortifié
Toile
87 x 107 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
Ecole FRANCAISE vers 1720, entourage de Jean Baptiste SANTERRE
Portrait d'homme en cuirasse portant l'ordre de saint Louis
Toile d'origine
74,5 x 60 cmEstimation : 1 200 / 1 500 €
-
Claude Michel Hamon DUPLESSIS (Actif à Versailles vers 1791 - 1799)
Le retour des soldats
Panneau de noyer, une planche, filassé
44 x 58 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Ecole Hollandaise vers 1800, suiveur de Wouwerman
Le Maréchal ferrant
Toile
48 x 60 cmEstimation : 600 / 800 €
-
Dans le gout de Adriaen BEELDEMAKER
Combat de chiens et renards
Toile d'origine
62 x 76 cmEstimation : 400 / 600 €
-
Ecole HOLLANDAISE vers 1650 entourage de Jacob Van Ruysdael
Paysage au moulin
Toile
51 x 61 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
Adriaen de GRYEF (Anvers 1670 - Bruxelles 1715)
Lièvre, fouine, bécasse et bouvreuils
Toile
40 x 52 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Théodore CARUELLE d'ALIGNY (1798-1871)
Paysage au rochers
Toile d'origine de Belot (étiquette)
50 x 63 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Jan MARTENSZ de JONGHE (1609-1647)
Charge de cavalerie
Panneau de chêne, deux planches, non parqueté
43 x 66 cmEstimation : 8 000 / 10 000 €
-
Attribué à Pieter Van BLOEMEN (1657 - 1720)
Cour de ferme
Toile
67 x 96 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Attribué à Godfredo WALS (1595-1638)
Le Christ et les pélerins d'Emmaüs (?) dans un paysage
Panneau de chêne, une planche, non parqueté
24 x 32 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Ecole de Bruges vers 1550, entourage d'Adriaen van ISENBRANDT
Saint Jérome en prière dans un paysage
Panneau de chêne, parqueté
59 x 46 cmEstimation : 8 000 / 12 000 €
-
Ecole HOLLANDAISE du XVIIIème siècle, suiveur de Paulus POTTER
Troupeau au repos dans un paysage
Panneau de chêne, une planche, non parqueté
33 x 41 cmEstimation : 1 000 / 1 500 €
-
Ecole française du XVIIe siècle, suiveur de Dorigny
Paysage avec Polyphène, Acis et Galathée et des nymphes
Panneau, deux planches, probablement un élément d'épinette ou de clavecin
42,5 x 100 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Attribué à Pieter van der HULST (vers 1600 - après 1637)
Promeneurs dans un paysage de forêt
Cuivre
17 x 22 cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
-
Ecole HOLLANDAISE vers 1700, entourage d'Adrien van der Cabel
Le retour de la pêche
Toile
25 x 42,5 cmEstimation : 800 / 1 200 €
-
Ecole FRANCAISE vers 1580, d'après Andrea Solario
Vierge en prière
Panneau de chêne parqueté
36 x 26,5 cm
d'époque Louis XVIEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Ecole de BERGAME vers 1700, suiveur de Francesco Fieravino
Plat de pommes et poires dans un plat posé sur un tapis
Toile marouflée sur panneau
31,5 x 42,5 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Jean Frédéric SCHALL (Strasbourg 1752 - Paris 1825)
Sujet tirés de la Genèse : Adam et Eve et La chute des anges rebelles
Cinq toiles
32,5 x 24,5 cmEstimation : 3 000 / 4 000 €
-
JAIME BAC0 dit JACOMART (Valence vers 1410-1461 ) / Joan REIXACH (Valence, documenté de 1431 à 1486)
Saint Mathieu et l'Ange
Panneau de retable Peinture mixte et fond d’or sur panneau de bois rectangulaire, cadre en bois doré et sculpté non d’origine
x cmEstimation : 50 000 / 70 000 €
-
Francesco FURINI (1603 - 1646)
Jeune femme en buste (allégorie de la Temperence ?)
Toile
55 x 44 cm
Cadre en bois sculpté doré de style renaissance florentine (accidents)Estimation : 8 000 / 10 000 €
-
Attribué à Francesco MONTOVANO (1584 - 1674)
Bouquet de fleurs dans un vase de bronze sur un entablement
Toile
x cmEstimation : 1 500 / 2 000 €
-
Ecole PIEMONTAISE vers 1720
Portrait de dame en robe brodée, en buste
Toile
78 x 61 cmEstimation : 1 200 / 1 500 €
-
Charles-François GRENIER de LACROIX, dit LACROIX de MARSEILLE (Marseille vers 1700 - Berlin après 1784)
Pêcheurs remontant des fillets (le crépuscule) ; Marine avec pêcheurs (l'aube)
Paire de toiles d'origine
45 x 63 cmEstimation : 40 000 / 60 000 €
-
Dirk HALS (1591-1656)
Joyeuse compagnie attablée
Panneau de chêne, une planche, non parqueté
23,5 x 34,5 cm
En bois sculpté doré, travail français d’époque Louis XIVEstimation : 12 000 / 15 000 €
-
Ecole FLAMANDE de la fin du 16e siècle, atelier de Marten van Cleve
La kermesse de Saint-Georges
Panneau parqueté
67,5 x 103 cmEstimation : 12 000 / 15 000 €
-
Ecole HOLLANDAISE du XVIIeme, suiveur de Willem CLAESZ HEDA
Nature morte au crabe, pomme, huitre et pièces d'orfèvrerie
Panneau parqueté
65,5 x 49 cmEstimation : 2 000 / 3 000 €
-
Ecole MILANAISE vers 1600, suiveur de Bernardino Luini
La Vierge à l'enfant avec saint Jean-Baptiste et l'agneau dans un paysage
Panneau de noyer une planche, non parqueté
91 x 63,5 cmEstimation : 12 000 / 15 000 €