Le trafic illicite des biens culturels revêt deux aspects principaux : le vol et la contrefaçon. Notre documentation et le croisement des informations sont les meilleures armes contre les escrocs de toutes sortes. Les faussaires en particulier sont les grands ennemis des experts du marché de l’art.

 

Très investis dans ce combat, nous travaillons régulièrement avec l’Office Central de Lutte contre le Trafic de Biens Culturels (OCBC) en France et avec The Art Loss Register de Londres et Interpol à l’international.